AL JALIYA NAYDA

2 Petites choses à vous dire dans ce nouveau
numéro d’ « AL JALIYA NAYDA » :
1)    D abord un grand remerciement à tous les encouragements et les soutiens que nous avons reçu de la part des amoureux de la liberté, celle de l expression et de la plume. Répétons le encore, nous restons ouverts à toutes vos propositions et vos suggestions, et même vos critiques, pourvu qu’elles soient constructives.
A nos lecteurs et ceux qui ont lu le 1er numéro de notre revue, qu’ils soient rassures. Car s ’il est vrai qu’ils auront eu une image de notre pays un peu aigrie, misérabiliste et quelque peu réduite, il n est pas moins vrai que nous aimons beaucoup ce pays ou beaucoup d’entre nous sont nés et restent fort attachés. Ce pays dont nous avons a cœur son développement et l’amélioration du niveau de vie de sa population et qu’il puisse donner espoir à sa jeunesse pour un meilleur avenir enfin. Voila notre pensée profonde. Et nous aurons l’occasion d’y revenir, dans nos prochains numéros, pour en parler et rendre compte aussi des changements profonds qu’il connait et des chantiers immenses qui se sont ouverts ces derniers temps.
2)    Que cela soit dit une fois pour toutes. Nous sommes tous des  RIAFAS, des SWASSAS, des JBALAS, des AROUBIAS et des SAHRAOUIS. Le sang qui coule dans nos veines vient de tous ses affluents et c’est ce qui fait que nous sommes ce que nous sommes, des marocains tout court. Alors, ceux qui n ont pas encore compris cela doivent revoir leur point de vue et changer leur fusil d’épaule. Car vouloir jouer sur une quelconque différence, qui par ailleurs n existe pas, c est nous faire perdre notre temps. On ne peut pas aller contre l’histoire. C est pourquoi, on ne doit pas tirer sur ceux et celles qui bougent et qui contribuent a la marche de l histoire et a l’essor de nos communautés de l’étranger. Les choses ont belle et bien changé, les hommes le doivent aussi. Le monde d’aujourd’hui est devenu un vrai village. Il n y a pas de place parmi nous pour des villages. Cela n’intéresse personne aujourd.